Vers une grappe de legal tech à Montréal
«De tels logiciels permettent d’évaluer très rapidement les risques qu’un cas se retrouve devant les tribunaux, et s’il n’y en a pas, d’envisager les modes alternatifs de résolution des conflits», constate Christelle Papineau, chercheuse au Laboratoire de cyberjustice de l’Université de Montréal. Ainsi, soutient-elle, même en intégrant l’intelligence artificielle dans l’offre technologique, le résultat n’est pas de remplacer l’avocat, mais de l’assister pour qu’il cible des solutions hautement adaptées aux besoins de ses clients, à un meilleur prix.
Ce contenu a été mis à jour le 7 octobre 2016 à 10 h 33 min.