Quarante-cinq chercheurs internationaux rassemblés à Montréal viennent d’ailleurs d’entamer un projet de recherche de six ans qui vise à améliorer l’accès à la justice par l’entremise d’outils d’intelligence artificielle. Le Barreau du Québec a aussi créé, au cours de la dernière année, un comité de réflexion qui a pour mandat de commencer à préparer une possible arrivée de l’intelligence artificielle dans nos salles de cour.
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Les adjoints juridiques qui, entre autres, font ces recherches risquent-ils ainsi de perdre leur emploi? « Peut-être qu’à terme, oui, certains vont perdre leur emploi, répond Karim Benyekhlef, directeur du Laboratoire de cyberjustice. Il faudra donc envisager pour ceux-ci une reconversion qui pourrait passer notamment par la contribution au développement d’outils de cette nature. »
Au-delà des chambardements qu’ils pourraient créer, ces outils très performants pourraient aussi permettre un meilleur accès à la justice, selon le bâtonnier du Québec.
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