Vers un changement de culture du système de justice
la ministre québécoise de la Justice promet une « série d’actions » pour « donner de l’oxygène au système ». « Ça ne peut être qu’une question d’ajouter des juges, d’ajouter des salles d’audience, d’ajouter des greffiers… ça va plus loin », fait-elle rapidement valoir. Mme Vallée appelle tous les acteurs du milieu juridique à participer pour tirer vers le bas les délais en matière de justice criminelle. « On ne peut pas se fermer les yeux, insiste-t-elle. Lorsque la Cour suprême nous impose des paramètres, on n’a pas le choix d’y répondre. Ce n’est pas compliqué. Il faut se donner les moyens. »
Ce contenu a été mis à jour le 14 juillet 2016 à 16 h 02 min.